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AB4G

Instructions aux auteurs

Parutions et organisation générale

 

AB4G est une plateforme qui publie son magazine deux fois par mois, les premiers et quinze de chaque mois. Il donne l’opportunité à chaque auteur d’animer un séminaire (webinar, zoom) en ligne lui permettant de présenter en live pendant 10 à 15 minutes le message clé de son article dans un délai de deux semaines suivant la parution de l’article. Ce délai de deux semaines est choisi à dessein pour donner suffisamment du temps aux lecteurs pour l’envoie de leurs questions au comité de rédaction par messagerie via la plateforme AB4G ou son adresse email magazine@ab4g.org. 

 

Ledit comité résume les différentes questions reçues en 5 points essentiels à traiter par l’auteur pendant une (01) heure de temps environ aussitôt après sa présentation durant la session live en ligne. Au-delà de cet exercice, 15 à 30 minutes sont réservées aux lecteurs/participants pour soulever de nouvelles préoccupations dont 2 à 3 sont débattues séance tenante.  Un séminaire extraordinaire mensuel est organisé pour revenir sur les questions non traitées par manque de temps lors des séminaires ordinaires. Des liens d’inscription aux séminaires sont chaque fois disponibles sur la plateforme AB4G. Aussi, des invitations sont automatiquement envoyées aux abonnés depuis la plateforme AB4G.

 

Afin de permettre aux lecteurs qui n’ont pas eu le temps de participer aux sessions live en ligne, le comité de rédaction met à la disposition du public des courts métrages de vidéos résumant les séminaires. Ces vidéos sont accessibles via la plateforme de AB4G aussi bien que sur ses pages Facebook, Twitter et Youtube. 

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Recommandations éditoriales

 

Toute personne ressource éprise de la vision et mission de AB4G est invitée à proposer un manuscrit suivant les recommandations éditoriales ci-dessous, bien entendu après évaluation et validation du titre proposé par le comité éditorial (contact ci-dessous). Ledit comité examine/évalue l’ensemble des manuscrits reçus une fois tous les trois (03) mois et envoie des notifications d’acceptation/rejet aux différents auteurs. En cas d’acceptation, un calendrier d’amélioration et de parution du manuscrit est communiqué aux heureux auteurs.

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TEXTE: 

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Le texte de l’article est structuré en sept (07) sections : Information sur l’auteur - Titre - Introduction – Développement – Conclusion – Actions clés – Références bibliographiques. 

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  • Informations sur l’auteur : Préciser le titre de l’auteur s’il y a lieu, sa qualification ou sa fonction, son lieu de travail, son email, etc.

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  • Titre de l’article : L’auteur donnera un titre très court de 10 mots maxi. Il doit s’inspirer de la vision et mission de AB4G, telles que mentionnées ci-dessus. L’auteur peut contacter le comité éditorial de AB4G pour avoir la certitude de la validité de son titre. Le comité éditorial de AB4G a des sujets prédéfinis qui peuvent servir au besoin.

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  • Introduction : Elle restera entre 100 et 150 mots maxi et donnera l’orientation générale de l’article, en faisant usage d’un style très attractif.  

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  • Développement : Il sera entre 1000 à 1200 mots maxi. Il fera état d’une situation, les problèmes associés, ainsi que les implications et les besoins. À l’intérieur du développement, indiquer les niveaux d’intertitres (jusqu’à 4) : (1.1 : les numéros seront supprimés en mise en page). Veiller à la longueur des intertitres (pas trop longs). Les citations d’ouvrages pertinents sont autorisées, mais doivent être référencées dans la section.

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  • Conclusion : Elle sera de 100 à 150 mots maxi et rappellera les points essentiels du développement.

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  • Actions clés : C’est un ensemble de 3 à 4 phrases maxi. Elles doivent toujours commencer par des verbes d’action. 

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  • Références bibliographiques : Les livres ou articles cités dans la section ‘Développement’ doivent être référencés de la façon suivante, l’ajout d’un lien de téléchargement est souhaité.

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  • Livres: 

    • DAUVIN P. (éd.), 2010 ‒ La communication des ONG humanitaires. Paris, L'Harmattan, 194 p.

    • COOMANS F., FLINTERMAN C., GRÜNFLED F. (éd.), 2000 – Human rights from exclusion to inclusion: principles and practice: an anthology from the work of Theo van Boven. La Haye, Kluwer Law International, 504 p.​

  • Articles:​

    • CURTIS J., GRABB Edw., BAER D., 1992 ‒ Voluntary Association Membership in Fifteen Countries: A Comparative Analysis. American Sociological Review, 57 (2) : 139-152.

 

TYPOGRAPHIE:

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  • Ecriture des sigles : le moins possible (et suivis à leur première utilisation dans le manuscrit de leur développé entre parenthèses). Si le sigle se prononce (acronyme), mettre une majuscule à la 1ere lettre, puis minuscules aux autres (ex. Inserm). Si le sigle ne se prononce pas, écrire toutes les lettres en majuscules (ex. OMS). 

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  • Les majuscules : pas de majuscule aux fonctions (président, vice-président, recteur, professeur, conseiller, etc.) ni à université, faculté, laboratoire, département, etc.

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  • Mettre en valeur un mot : par de l’italique seulement (pas de souligné ou de gras)

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  • Citations : entre guillemets et sans italiques (toujours donner les références)

 

PHOTO:

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  • Photo de profil de l’auteur : Elle est nécessaire (requise en format JPEG) et est généralement associée à ses informations personnelles sur la première page du magazine. 

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  • Photo de support : Une photo (requise en format JPEG) très attirante de l’environnement (paysage, ville, infrastructure dans un paysage, etc.) de l’auteur est demandée. Elle sert de support à la présentation des actions clés en fin d’article.

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EXEMPLE DE PRESENTATION DE VOTRE MANUSCRIT
IA 1
IA 2

Titre de l’article :

DE L’AFFLICTION A LA CONSOLATION

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Introduction (100 à 150 mots maxi.)

Dans son sermon sur la montagne, Jésus montre que le point de départ du bonheur pour l´homme est qu´il réalise sa pauvreté en esprit, i.e. son besoin de Dieu que rien d´autre ne pourra satisfaire. Cependant, Jésus donne des spécificités en relation avec notre état d’âme dans le temps. Il dit, «Heureux les affligés, car ils seront consolés !». Jésus révélait ainsi aux peuples de la terre entière le secret du Bonheur. Que voudrait-il signifier dans cette deuxième béatitude ?

 

Développement (1000 à 1200 mots maxi.)

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1. Heureux les affligés 

Un affligé, au sens de Jésus, est une personne qui éprouve une douleur profonde, un profond chagrin. C’est une personne qui est abattue dans son âme à cause de ses péchés. C´est un état d´âme du “pauvre en esprit” devant Dieu. Il se rend compte de combien il a blessé son Dieu par ses actes de rébellion, son indifférence, son insensibilité et sa dureté de cœur. Il se demande dans son chagrin, comment ai-je pu blesser son amour ? 

Pourquoi ai-je couru derrière des choses vaines qui ne sont que vanité ? Misérable que je suis, comment en suis-je venu là ? Ce saignement du cœur qui provient du tréfonds de l´âme est agréé devant Dieu. Pas toujours, mais beaucoup coule des larmes, regrettant leurs péchés devant Dieu dans leur repentance. Dieu aime que l´homme reconnaisse qu´IL hait le péché et qu´IL n´a trouvé aucun autre remède que la mort, la mort de son Fils pour payer le prix des péchés de l´humanité. On peut se souvenir du fils prodigue qui est revenu à la maison après avoir brulé l´héritage qu´il a exigé de son père (Luc 15: 11-32). Quand enfin il prit le chemin du retour et rencontra son père, il lui dit, «je ne suis plus digne d´être appelé ton fils. Considère-moi juste comme un de tes serviteurs». Autrement dit, ‘je t´ai blessé, père, je t´ai humilié, j´ai porté atteinte à ta réputation, je suis un fils indigne, j´implore ton pardon et ta miséricorde’. Le fils était surpris de la réaction de son père qui l´ayant vu de loin, courut à sa rencontre, l´accueillit dans sa maison et le restaura dans sa position de fils. Tout le temps que le fils était au dehors, le cœur du Père saignait. Il a toujours espéré qu´un jour le fils allait réaliser que son bonheur et sa sécurité se trouvaient chez lui à la maison. Jésus au travers de cette parabole dépeint l´attitude de Dieu le Père qui dit au monde entier : «…Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi» (Jean 6:37). Une âme assoiffée de pardon, regrettant sa rébellion contre Dieu et réalisant l´immensité et la portée de l´Amour de Dieu, ne sera pas laissée à elle-même. En effet, être affligé pour ses péchés est un pas décisif devant Dieu, mais Dieu tout comme le père du fils prodigue ne voudra pas non plus voir une affliction authentique et ne pas y répondre.

 

2. Car ils seront consolés 

En effet, Jésus ouvra la deuxième clé du bonheur en rassurant les affligés qu´ils seront consolés. La consolation qui vient de Dieu rend heureux l´homme qui est affligé, qui mène un deuil et qui pleure à cause de ses péchés. A l´affliction répond la consolation de Dieu. Aux péchés des hommes, un Dieu Puissant et Saint répond par le pardon. IL refuse de briser et de châtier en retour. IL a choisi de pardonner et de bénir ceux qui mettent leur foi en LUI. IL envoya Jésus consoler les affligés (Ésaïe 61 : 1-3). La culpabilité qu´éprouve l´homme quand il transgresse les lois morales est un poids pour sa conscience. Une voix intérieure torture un tel homme plus que ne l´auraient fait des coups de fouets sur son corps. Beaucoup de criminels se sont rendus eux-mêmes à la justice parce qu´ils ne pouvaient plus résister à la voix de leur conscience. Bien souvent, cette voix intérieure est le signal de l´agonie de l´âme qui ne sait à quel saint se vouer, parce que troublée et croupissant sous le poids du péché. Ce poids doit être ôté pour libérer la conscience alourdie par des actes accumulés de péché. En effet, celui qui cache ses transgressions ne prospère point, mais celui qui les avoue et les délaisse obtient la miséricorde de Dieu. Ce que Dieu veut, c´est cette tristesse intérieure dans l´homme qui le tourne vers Lui. Paul dit aux corinthiens : «En effet, la tristesse selon Dieu produit une repentance à salut dont on ne se repent jamais, tandis que la tristesse du monde produit la mort» (2 Corinthiens 7:10). Quand le diable amène l´homme à bout de lui-même, il le pousse au désespoir et à la mort. Mais quand l´Esprit de Dieu amène l´homme à bout de lui-même par la tristesse intérieure, conséquence de ses actes, IL l´amène à espérer en Christ. …..

 

​3. Quelques implications de cette deuxième béatitude 

Elle révèle que toute personne affligée dans son âme à cause de ses péchés recevra de Dieu la consolation. Cette consolation le rendra vraiment heureux car le poids du péché et de la culpabilité est désormais ôté. En effet, heureux l'homme dont la faute est enlevée, et le péché remis ! Heureux l'homme dont le Seigneur ne retient pas l'offense, dont l'esprit est sans fraude ! (Psaume 32 :2). Les implications sont les suivantes :

 

​3.1 Une foi sincère en Dieu est nécessaire 

Dans une société où la foi en Christ est réduite à une simple adhésion intellectuelle, la foi de la plupart est le plus souvent sans fondation réelle. Elle est superficielle sinon culturelle. A la question : Croyez-vous en Dieu ? D´aucuns répondent oui, mais sans aucune expérience personnelle de cette foi en Dieu qui fait que l´homme est affligé dans son cœur et se jette dans les bras du Christ pour être consolé. Le christianisme est ramené à une réalité mécanique et sans profondeur. Déjà en 1948, A. W. Tozer  (La Poursuite de Dieu, 2006) a déclaré : «La foi peut maintenant être exercée en complet déphasage avec une vie morale pure et sans aucune gêne pour l'ego adamique……….

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​3.2 Une repentance sincère est nécessaire

Au sens biblique la repentance implique un changement de direction. C´est cela le tout premier message de Jésus : «Repentez-vous car le royaume des cieux est proche» (Matthieu  3:2). C´est l´essence même du salut en Christ. Une repentance réduite à la formulation d´une simple prière admettant seulement que l´on est pécheur n´est pas une repentance. La repentance n´est pas sur les lèvres. Elle naît d´abord dans le cœur affligé et est ensuite confessée et traduite dans les actes de chaque jour. Voici ce que Paul en dit : «...Le Seigneur connaît ceux qui lui appartiennent et Tout homme qui prononce le nom du Seigneur, qu’il se détourne du mal» (2 Timothée 2: 19). 

 

Conclusion  (100 à 150 mots maxi.)

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Le bonheur selon Dieu est que l´homme réalise ses limites et s´en remette à Lui son créateur, ce qui se traduit par la nécessité pour l’homme de réaliser sa pauvreté en esprit. C´est dans cet état d´humilité que l´homme s´approche de Dieu, réalise la gravité de ses péchés et s´en chagrine profondément et sincèrement. Il prend alors la décision de s´en repentir réalisant que quelqu´un d´autre a payé la facture de ses péchés au prix de sa vie. Dieu y répond en retour en pardonnant et apportant la consolation dont a besoin l´âme qu´il a créée. Dès cet instant, l´homme qui est maintenant en parfaite communion avec Dieu est prêt pour la prochaine béatitude : « Heureux les débonnaires, car ils hériteront la terre ! » (Matthieu 5 : 5), qui sera l´objet de notre prochain article.

 

Actions clés (3 à 4 phrases maxi)

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- Sonde ton cœur – Reconnais tes péchés devant Dieu  - Prends le chemin de la repentance – Reçois le bonheur selon Dieu par sa consolation -

 

Références bibliographiques

 Tozer, A. W. (2006). La poursuite de Dieu. Camp Hill. PA: Christian.

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